LA MORT
La MORT
Moi, la mort, jamais ne croyais l’apprendre ;
Jeune toujours, d’une pèlerine me couvrant,
Mes yeux rêveurs se levaient vers l’astre
Des solitudes.
Lorsque tu parais brusquement devant moi,
Toi, souffrance, si douloureuse et douce…
Jusqu’au fond j’ai bu le bien d’une mort
Impitoyable.
Tel Nessus, je brûle vivant, tortures
Toutes pareilles aux toiles vénéneuses d’Hercule ;
Ni les vagues, ma flamme, ne pourraient l’éteindre,
De l’entière mer.
Par mon propre rêve, dévoré, je pleure,
Et mon propre feu me consomme, bûcher…
Clair, je peux en ressusciter encore,
Comme le Phénix ?
De ma voie, les yeux qui me troublent, périssent,
Et reviens dans l’âme, indifférence ;
Pour pouvoir mourir calmement, redonne -
Moi à moi-même
Moi, la mort, jamais ne croyais l’apprendre ;
Jeune toujours, d’une pèlerine me couvrant,
Mes yeux rêveurs se levaient vers l’astre
Des solitudes.
Lorsque tu parais brusquement devant moi,
Toi, souffrance, si douloureuse et douce…
Jusqu’au fond j’ai bu le bien d’une mort
Impitoyable.
Tel Nessus, je brûle vivant, tortures
Toutes pareilles aux toiles vénéneuses d’Hercule ;
Ni les vagues, ma flamme, ne pourraient l’éteindre,
De l’entière mer.
Par mon propre rêve, dévoré, je pleure,
Et mon propre feu me consomme, bûcher…
Clair, je peux en ressusciter encore,
Comme le Phénix ?
De ma voie, les yeux qui me troublent, périssent,
Et reviens dans l’âme, indifférence ;
Pour pouvoir mourir calmement, redonne -
Moi à moi-même
Reacties op dit gedicht
| Boudaatje: | Zaterdag, juni 19, 2004 20:55 |
| wauw super en zeker de linken naar de mythes.. wauw zoals we in het frans zeggen: "chapeau!!!" knuff |
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| Fading Away: | Zaterdag, juni 19, 2004 18:53 |
| Mooi geschreven, knap ook zo in het Frans.. Echt heel erg mooi. Liefs, Fading Away |
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Over dit gedicht
| Auteur: zeta | 
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| Gecontroleerd door: maneschijn | ||
| Gepubliceerd op: 19 juni 2004 | ||
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